Lorsque j'étais toute petite et que j'entendais cette chanson, je courais vers les haut parleurs, j'appuyais mes bras sur la base du foyer et j'écoutais tranquillement cette chanson qui me rendait le coeur gros. Ma mère se rappelle de ces doux moments. Aujourd'hui, quand j'entends cette chanson, je pense à ma petite Lily et pris de mon être pour qu'elle soit bien au chaud et que l'on prenne bien soin d'elle. Je t'aime ma Lily xxx Ta maman qui ne t'oublies pas...
Les enfants oubliés Les enfants oubliés traînent dans les rues
Sans but et au hasard
Ils ont froid, ils ont faim, ils sont presque nus
Et leurs yeux sont remplis de brouillard
Comme une volée
De pauvres moineaux
Ils ont pour rêver Le bord des ruisseaux
RecroquevillésvSous le vent d'hivervDans leur pull-overvDe laine mitée
Les enfants oubliés traînent dans les rues
Sans but et au hasard
Ils ont froid, ils ont faim, ils sont presque nus
Et leurs yeux sont remplis de brouillard
Les enfants oubliés ont pour seuls parents Que les bruits des grands boulevards
Dans le creux de leurs mains ils tendent aux passants Des objets dérobés aux bazars
Ils ont pour s'aimer D'un naïf amour La fragilité Des mots de velours
Ils ont pour palais Tout un univers Dans les courants d'air Des vastes cités
Les enfants oubliés traînent dans les rue Tout comme de petits vieux
Ils ont froid, ils ont faim Ils sont presque nus
Mais ce sont les enfants du bon Dieu.
Sans but et au hasard
Ils ont froid, ils ont faim, ils sont presque nus
Et leurs yeux sont remplis de brouillard
Comme une volée
De pauvres moineaux
Ils ont pour rêver Le bord des ruisseaux
RecroquevillésvSous le vent d'hivervDans leur pull-overvDe laine mitée
Les enfants oubliés traînent dans les rues
Sans but et au hasard
Ils ont froid, ils ont faim, ils sont presque nus
Et leurs yeux sont remplis de brouillard
Les enfants oubliés ont pour seuls parents Que les bruits des grands boulevards
Dans le creux de leurs mains ils tendent aux passants Des objets dérobés aux bazars
Ils ont pour s'aimer D'un naïf amour La fragilité Des mots de velours
Ils ont pour palais Tout un univers Dans les courants d'air Des vastes cités
Les enfants oubliés traînent dans les rue Tout comme de petits vieux
Ils ont froid, ils ont faim Ils sont presque nus
Mais ce sont les enfants du bon Dieu.
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